L'ENFER PORTE UN NOM : Prison Devil's Island
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

L'ENFER PORTE UN NOM : Prison Devil's Island

LA VIE DES PRISONNIERS ET DES GARDIENS D'UNE PRISON SUR UNE ILE PERDUE AU MILIEU DE L'OCEAN
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
69.99 € 139.99 €
Voir le deal

 

 Pinkie June

Aller en bas 
AuteurMessage
June Summer

June Summer


Messages : 9
Date d'inscription : 04/05/2014
Age : 31

Pinkie June Empty
MessageSujet: Pinkie June   Pinkie June Icon_minitimeDim 4 Mai - 21:07

Nom : Summer.

Prénom : June.

Surnom : Pinkie June.

Age : 21 ans.

Particularité physique : Je suis plutôt petite, mesurant à peine 1m53 pour un poids de 45 kgs. Autant dire que j’ai un poids plume. D’apparence, on me qualifie de plutôt sexy et mignonne. Bonde, aux yeux bleus, j’ai un visage d’ange et le sourire qui va avec. Une moue coquine bien souvent, je suis capable d’aguicher et de séduire, chauffer rapidement ses messieurs et mesdames, sachant parfaitement utiliser mes atouts. Je possède un piercing au niveau de l’arcade gauche, ainsi qu’un tatouage sur la hanche droite, représentant une fleur exotique. Pour ce qui est de mon corps, j’ai une petite poitrine, un ventre plat et sensuel, des fesses que l’on dit attirantes ainsi qu’un pubis entièrement lisse et doux. Je sais que les mecs aiment ça chez une fille, comme certaines filles aussi d’ailleurs. Pour le reste, j’ai toujours aimé m’habiller de façon cool et branchée. Je n’ai pas de cicatrices, ni de maladies particulières. Pour ce qui est des phobies, j’avoue craindre les araignées, les souris et rats, ainsi que les insectes en général. J’ai aussi quelques manies qui me collent à la peau. Souvent, il m’arrive de jouer avec une mèche de mes cheveux entre mes doigts, que j’enroule dessus quand je suis pensive, tout comme je dors encore en suçant mon pouce.

Nationalité : Américaine.

Trait de caractère : Si vous interrogiez les personnes de mon entourages, on vous dirait sûrement de moi que je suis une fille toujours souriante, de bonne humeur, sauf peut-être au réveil, où là, j’avoue, je suis souvent grincheuse oui. En réalité, je suis une couche tard, préfère dormir la journée et vivre la nuit. Un mauvais rythme que j’ai pourtant très tôt adopté durant mon adolescence. Souriante donc, agréable, de bonne humeur, j’aime mettre l’ambiance, rigoler et faire des blagues. Au quotidien, je suis plutôt extravertie, aime bien que l’on me remarque, tout comme faire la fête. En ce qui concerne mon activité, avant que je ne me retrouve en prison naturellement, j’étais surtout du genre curieuse, observatrice et particulièrement attentive. C’est pour cela que je me considérais comme l’une des meilleures dans ma spécialité. Loin d’être débile, je ne suis pas non plus une intellectuelle. Plutôt sportive, je n’ai jamais craché pour autant sur un bon hamburger et un grand coca. Joueuse, malicieuse, taquine, j’aime bien embêter mon monde. On me dit aussi volontiers coquine et ça, je ne peux pas non plus le cacher. Gourmande, j’aime le sexe, faire la sieste, m’amuser et surtout, ne pas me prendre la tête. Je fuis les prises de tête, mes responsabilités. De ce côté-là, je n’ai jamais été vraiment mâture ni même adulte. Je déteste qu’on me fasse la leçon, des remarques.

Travail en prison : Je travaille aux cuisines où je sers les repas aux autres détenus.

Numéro de cellule : 21.

L'histoire du personnage : Je vous raconte ma vie ici donc si je comprends bien ? Tout d’abord, pour commencer, il faut jamais m’appeler June, ou mademoiselle Summer, mais toujours Pinkie June ? C’est mon surnom. Il me vient de mon enfance. Quand j’étais petite, j’adorais plus que tout le rose, j’en portais tout le temps. A l’école aussi d’ailleurs et j’utilise depuis ce surnom partout où je vais. Je suis née et j’ai grandi à New York. Mon histoire est chiante à mourir, je vous préviens. J’ai passé une enfance heureuse. Pas de petite sœur ou de petit frère derrière, juste moi. Mon père était pompier et ma mère travaillait comme caissière dans une petite supérette. A l’école, j’étais une élève normale, dans la moyenne, joueuse, taquine, souriante. Bref, l’image parfaite de la famille parfaite américaine.

Quand j’ai eu 14 ans, j’ai dû vivre avec l’horreur. Ma vie a basculé du jour au lendemain. Un soir, alors que ma mère s’apprêtait à quitter son travail, un homme est entré et à demander la caisse. Naturellement, ma mère a de suite coopéré et a tout donné. Sauf que l’homme en question ne s’est pas arrêté là et a tiré sur ma mère, sans raison apparente. Elle est morte sur le coup, d’après ce que nous ont dit les deux policiers qui sont venus à notre porte, quelques heures après. Mon père ne s’en est jamais remis depuis. Il s’est mis à boire, puis, de là, tout est aller de pire en pire. Plus personne pour veiller sur moi, pour m’éduquer, prendre soin de moi. J’allais au collège quand je voulais, je mangeais quand je voulais, je rentrais le soir, quand je voulais. D’accord, c’est vrai, j’ai essayé de rester la même, en continuant d’aller en cours, essayant de soutenir mon père comme je le pouvais. Mais vous savez, quand vous voyez que rien ne change, que tout ce que vous faites, ça ne sert à rien, il arrive un moment où vous baissez les bras. Et puis j’étais jeune, ce n’était pas mon rôle d’assumer la maison, la famille.

J’ai commencé à sortir le soir, la nuit, à fréquenter des personnes peu recommandables. Je cherchais surtout à attirer l’attention sur moi et à ne plus être seule aussi. Au collège, je faisais partie d’une équipe et on pratiquait la gymnastique. J’en fais depuis que je suis toute petite, c’était une idée de ma mère et moi, j’aimais beaucoup ça. Autant dire que j’ai été toujours très souple et agile, une vraie petite chatte comme le disait si bien ma mère. Parfois, j’allais encore aux entraînements. C’est bien le seul truc que je continuais à préserver de mon ancienne vie d’ailleurs. La première fois que j’ai volé, c’était pour une connerie. Mais je me souviens que j’ai adoré la sensation de défier l’interdit. J’étais accroc à cette sensation. J’ai fréquenté des squats, puis j’ai fait partie d’un gang. Enfin pas ce ceux qu’on peut voir dans certains quartiers, de certaines villes, avec plein de tatouages, de codes, de règles etc… Non, nous, c’était plutôt un groupe, de mecs et de filles comme moi, abandonnés de tous. On survivait ensemble, on faisait attention les uns aux autres. Et moi, naturellement, je me suis spécialisée dans le vol.

Comment je suis arrivée en prison ? A cause de ce connard de Tyron. J’étais tombée amoureuse de ce type. Il était beau, rebelle, avait des idées que j’adorais. C’est lui qui m’a poussé à passer la vitesse supérieure, laissant de côté les petits vols sans gros profits. Avec lui, j’ai approché un univers bien plus intéressant. Il m’a entrainé, pour faire de plus gros coups. Grâce à lui, je suis devenue une voleuse de haute voltige, capable de m’infiltrer pratiquement n’importe où. On a réussi d’ailleurs de jolis coups ensemble. Et puis un jour, je ne sais toujours pas pourquoi, mais il m’a demandé de m’introduire dans une superbe villa, pour y récupérer le contenu d’un coffre. Quand je suis arrivée dans la chambre, j’ai trouvé le couple de propriétaires morts, allongés sur le lit, une balle dans la tête. J’ai flippé comme jamais. Moi, je n’avais jamais tué personne, j’étais une voleuse. J’ai réussi à m’enfuir, in-extremis. Et quand je suis retournée voir Tyron, j’ai compris en le surprenant avec d’autres types, que c’était lui qui m’avait tendu un piège. Je n’ai rien dis et fais comme-ci de rien était. La nuit venu, lorsqu’il est venu me rejoindre pour se coucher, j’ai attendu patiemment qu’il s’endorme. C’est à ce moment-là que je l’ai égorgé. Je l’ai regardé ce vider et s’étouffer dans son propre sang, puis je suis partie. Et lorsque j’ai voulu prendre un bus, pour quitter le quartier, je me suis faite choper par la police, qui me recherchait. Le couple de la villa avait un système vidéo bien caché et moi, naturellement, je n’étais pas au courant. Du coup, on m’a accusé d’un double homicide. Je me console en me disant qu’ils ne m’ont pas mis sur le dos, en plus, celui de Tyron, mais aujourd’hui, je suis derrière les barreaux. Je sais que je dois être en prison, mais j’aurais aimé qu’on me punisse pour mon véritable crime. La justice est aveugle de toute façon.
Revenir en haut Aller en bas
 
Pinkie June
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
L'ENFER PORTE UN NOM : Prison Devil's Island  :: PRESENTATION :: Présentations :: Fiche des personnages.-
Sauter vers: